Des communes qui comptent jusqu’à 8.000 habitants
en deuxième division - à l'image du Poiré-sur-Vie, actuel 3e de National -, cela n’a rien d’exceptionnel.
Plusieurs clubs ayant fréquenté longtemps ce niveau
(voire la première division) sont dans ce cas. A commencer
par Gueugnon : trente-sept saisons en D 2, club représentant
une commune de Saône-et-Loire, tombée de
10.000 à 7.000 habitants en quarante ans. On trouve aussi
Guingamp (Côtes-d’Armor) et ses vingt-sept années de
présence remarquables pour une ville oscillant entre
7.000 et 8.000 habitants. Autre habitué de la D2 (17 saisons),
Cuiseaux-Louhans, fruit de la fusion de ces deux
bourgs de Saône-et-Loire, totalisant environ 8.000 habitants.
Parmi les communes les plus petites ayant atteint la
D2 : Ancenis (Loire-Atlantique, 7.000), Montmorillon
(Vienne, 6.900), Vittel (Vosges, 6.800), Le Touquet (Pas-de-Calais, 5.000), Tavaux (Jura, 4.000).
Le record appartient à Mouzon (Ardennes), 3.000 habitants
environ quand il joua en D2 (alors National) en
1971-1972 et à Saint-Seurin (Gironde, 2.500 habitants)
qui, avant sa fusion avec Libourne, joua à ce niveau de
1989 à 1992.
(Source : L'Equipe)
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