"Notre DNCG, qui nous fait
râler, fixe un cadre de conduite qui
oblige. Nous ne sommes plus très loin
d’être vertueux. On va finir la saison
avec une masse salariale de 16,5 millions d'euros
non chargés. Ça me satisfait. Si François-Henri [Pinault] m’avait dit : “Revenez, on
met 20 millions par saison pendant cinq
ans”, je ne serais pas revenu. Ça, c’est
trop de pression. Et ça ne correspond
pas à ce que je voulais faire.
"Les gens rejettent le football depuis
quelques années, ça nous met en danger.
Nous avons moins de droits TV,
moins de spectateurs, moins de partenaires...
Il faudrait que les gens aiment
le foot, comme en 1998. Ça favoriserait
son image, son développement
économique.Déjà, il faut parler du club, qui doit
être identifié comme celui de la région.
Et, pour ça, il faut être transparents. On
a beaucoup vécu dans l’opacité. Je me
suis rendu compte pendant mes deux
ans de parenthèse qu’on protégeait
beaucoup les joueurs. Jusqu’à cacher
l’entraînement en mettant des bâches."
Frédéric de Saint-Sernin, président du Stade rennais, L'Equipe, 30 mars 2013.
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