Il y a trois semaines, le tribunal
administratif de Paris annulait la délibération
du conseil de Paris qui avait
autorisé en 2011 l’extension du site
de Roland-Garros.
Il y a dix jours, le milliardaire
Larry Ellison, propriétaire du tournoi
d’Indian Wells, se mettait en scène en
grande pompe avec Nadal et Djokovic
pour la pose de la première pierre
du troisième central qui devrait porter
rapidement la capacité d’accueil
du tournoi à 500.000 spectateurs,
soit plus que le tournoi du Grand Chelem
parisien. Et après que l’US Open
eut annoncé mercredi 20 mars qu’il augmentait
à hauteur de 25 millions la dotation
de son tournoi dès 2013 pour la porter
en 2017 à 38 millions (soit le double
de l’an dernier), Justin Gimelstob,
membre du board de l’ATP, a estimé
que les annonces faites par Roland-Garros concernant la dotation de
l’épreuve parisienne étaient insuffisantes
et que le tournoi se mettait
"en danger"... Et pour finir, la presse anglaise annonçait
que la direction de Wimbledon avait
pris la décision, après le Centre Court,
de bientôt couvrir le court n°1 du
tournoi londonien.
(Source : L'Equipe)
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