"C’est très bien que des grands
clubs investissent. Reste à savoir
si cela peut être bénéfique pour le
football français. Avec Monaco,
il faut que nous pratiquions le
même sport. Il convient donc de
trouver calmement un accord
avec les dirigeants monégasques
pour que leur club puisse jouer
dans le championnat de France si
c’est leur souhait. Je fais confiance
au président Thiriez pour trouver
une solution. Toutes les initiatives
qui ont été prises, notamment
celle de la Fédération, n’avaient
pas lieu d’être. C’est une affaire
qui concerne d’abord la Ligue. [...] Il ne faut
pas d’initiatives individuelles. Le
football doit être uni quand il veut
résoudre un problème. Il faut être
derrière Thiriez. Il y a eu un vote
unanime pour qu’il y ait une
équité avec Monaco. Il ne faut pas
changer d’avis. Il est urgent de
retrouver une unité.
"Depuis que nous sommes là,
vous me demandez quand nous
allons partir… Nous n’avons pas
l’intention de quitter le club.
Compte tenu denotre implication
au côté de la ville de Bordeaux
dans le nouveau stade."
"Nous avons amélioré nos
comptes mais nous étions toujours en déficit au 30 juin et nous
le serons encore en fin de saison.
Le déficit doit être réduit. Nous ne
serons pas les Qatariens du Sud-Ouest ni les Russes de Bordeaux.
Dans notre effectif, il y avait quelques gros salaires qui jouaient
peu ou pas. Cette situation, qui
sera assainie à la fin de la saison
2015-2016, empêche les investissements."
Nicolas de Tavernost, président de M6, actionnaire des Girondins de Bordeaux, L'Equipe, 12 juillet 2013.
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