Dans une lettre ouverte adressée hier au ministre de l’Intérieur, à la
ministre de la Jeunesse et des Sports, aux présidents de la FFF, de la
LFP, des autres clubs et des associations de supporters, l’AS Saint-Étienne
a demandé «à l’État l’organisation, sous son autorité, d’une
table ronde impliquant toutes les parties pour décider de mesures
concrètes à la hauteur de l’enjeu ».
Cet appel fait suite aux graves
incidents survenus dimanche en marge de Nice-Saint-Étienne et
à ce constat des dirigeants de l’ASSE : « Les sanctions prises contre les
clubs par la Ligue de football professionnel – amendes, huis clos et
retrait de points – ne permettent pas d’éradiquer les incivilités et la
violence dans les tribunes (...) Les clubs ne peuvent pas faire la police,
ni rendre la justice. Ils ont besoin de l’État. »
(L'Equipe)
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