Il
paraît que 60 millions est le montant nécessaire pour monter puis
défendre comme il convient une candidature pour accueillir les jeux
Olympiques d’été en 2024. Une somme conséquente en ces temps de crise et
qui, surtout, risque de passer en pertes et profits si Paris n’est pas
désigné en 2017. Sur ces 60 millions,
30 seront abondés par les pouvoirs
publics. L’autre moitié doit être collectée par le Comité national
olympique et sportif français (CNOSF). Lequel espérait convaincre 2 024
entreprises de mettre la main à la poche jusqu’en 2024. Or les mécènes
potentiels ne se bousculent pas. Même apathie du grand public.
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