« En Sud Seine-et-Marne, nous sommes un peu les parents pauvres en termes de sport, notamment au niveau des moyens financiers qui ne sont pas à la hauteur pour hisser nos clubs vers le haut avec des résultats susceptibles d’intéresser davantage de monde. Les aides des collectivités locales, qui font ce qu’elles peuvent, baissent, tout comme le nombre de bénévoles. Le sport d’en bas est oublié par les hautes sphères. Le monde amateur souffre, et lorsque je vois par exemple que le club de football de Montcourt-Fromonville qui galère à trouver 500 € depuis un an pour s’acheter un traceur de terrain, ça me fait mal. »
En savoir plus...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire