Si le sport est reconnu comme un vecteur d’inclusion
sociale, il ne suffit pas de mettre quelques sportifs en relation avec
le public pour qu’elle se fasse comme par enchantement. La mise en œuvre
d’une telle démarche impose au contraire des critères techniques qui
dépassent le simple cadre de la solidarité.
L’Iris, France terre d’asile
et la Fédération française de badminton ont réussi ce pari et
souhaitent le conceptualiser dans un guide des bonnes pratiques pour
permettre aux réfugiés et aux migrants d’utiliser le sport pour mieux
connaître la société dans laquelle ils vivent.
C’est une citation-valise, qui paraît s’imposer d’elle-même à sa seule prononciation : « Le sport comme outil d’inclusion sociale ». C’était le thème d’un débat organisé à l’occasion de la Journée mondiale des réfugiés par l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), France terre d’asile et la Fédération française de badminton.
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