Saisi par deux associations défavorables au projet d'extension du stade Roland-Garros, le tribunal
administratif de Paris avait demandé l’annulation de la délibération autorisant la
signature de la concession d'occupation du domaine public par la ville de Paris.
L’exécutif parisien a pris acte de ce jugement en
résiliant la convention initiale et en soumettant une nouvelle convention au conseil de Paris du 23 avril 2013. Celle-ci maintient l’essentiel du projet
en y apportant quelques modifications : la durée de la convention passe de 99 à 50 ans ; la pénalité de
20 millions d’euros dont la ville aurait dû s’acquitter envers la FFT en
cas de blocage irrémédiable et définitif du projet a été supprimée ; une
échéance précise pour l’augmentation du taux de la redevance est fixée,
à savoir le premier tournoi disputé sur le court Philippe-Chatrier
couvert, prévu pour 2019 ; enfin, le coût des investissements de la FFT est réévalué à 340 millions d’euros, dont 277 millions de travaux.
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