Les quatre
dirigeants qui veulent assurer la pérennité de l'association FC
Auch-Gers (plombée par un déficit d'environ 350.000 euros) ont été reçus
à la mairie d'Auch. Une réunion de prise de contact au cours de
laquelle Franck Montaugé, sénateur-maire et Philippe Martin, président
du Conseil départemental ont fait savoir qu'ils soutiendraient la future
équipe dirigeante dans cette opération de renflouage.
"On a envisagé des pistes mais il est un peu tôt pour en parler. On sera là, dans la mesure des engagements qu'on a toujours eus auprès du FCAG, mais la solution passe aussi par des sponsors privés", indique Franck Montaugé, conscient de l'urgence de la situation d'un club dont il a porté le maillot. Pour le maire, "ce qui justifie le soutien public c'est les pépites du club que sont le centre de formation et l'école de rugby et les valeurs d'éducation et de citoyenneté qui, grâce au FCAG, créent ce lien social si précieux pour le vivre ensemble".
Philippe Martin se dit aussi "à l'écoute de ceux qui se mobilisent pour sauver l'association. On ne peut pas sortir des sommes considérables mais on peut prendre des engagements pour apporter une forme de caution dès lors que le club sera engagé en Fédérale 1 avec un vrai projet sportif".
Guy Sorbadère, Alain Soler, Stéphane Graou et Michel Cartier, les quatre dirigeants qui sont montés en première ligne depuis le week-end dernier, savent que le temps est compté. S'ils veulent convaincre la DNACG de repêcher Auch en Fédérale 1 Jean-Prat la saison prochaine, il leur faut absolument apporter des garanties financières d'ici le 30 juin en comblant ce gros déficit. S'ils n'y arrivaient pas, l'association serait liquidée à son tour, après la section professionnelle et il faudrait alors rebâtir un club de rugby (sous un nouveau nom) depuis la 4e série. Impensable pour cette institution du rugby qu'est le Football-Club auscitain, né en 1897, il y a 120 ans tout juste... un anniversaire que personne n'a eu envie de célébrer cette année sur les berges du Gers.
(La Dépêche)
"On a envisagé des pistes mais il est un peu tôt pour en parler. On sera là, dans la mesure des engagements qu'on a toujours eus auprès du FCAG, mais la solution passe aussi par des sponsors privés", indique Franck Montaugé, conscient de l'urgence de la situation d'un club dont il a porté le maillot. Pour le maire, "ce qui justifie le soutien public c'est les pépites du club que sont le centre de formation et l'école de rugby et les valeurs d'éducation et de citoyenneté qui, grâce au FCAG, créent ce lien social si précieux pour le vivre ensemble".
Philippe Martin se dit aussi "à l'écoute de ceux qui se mobilisent pour sauver l'association. On ne peut pas sortir des sommes considérables mais on peut prendre des engagements pour apporter une forme de caution dès lors que le club sera engagé en Fédérale 1 avec un vrai projet sportif".
Guy Sorbadère, Alain Soler, Stéphane Graou et Michel Cartier, les quatre dirigeants qui sont montés en première ligne depuis le week-end dernier, savent que le temps est compté. S'ils veulent convaincre la DNACG de repêcher Auch en Fédérale 1 Jean-Prat la saison prochaine, il leur faut absolument apporter des garanties financières d'ici le 30 juin en comblant ce gros déficit. S'ils n'y arrivaient pas, l'association serait liquidée à son tour, après la section professionnelle et il faudrait alors rebâtir un club de rugby (sous un nouveau nom) depuis la 4e série. Impensable pour cette institution du rugby qu'est le Football-Club auscitain, né en 1897, il y a 120 ans tout juste... un anniversaire que personne n'a eu envie de célébrer cette année sur les berges du Gers.
(La Dépêche)
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