jeudi 28 mars 2013

Foot pro et petites villes : qui sont les petits poucets de l'histoire de la L2 ?

Des communes qui comptent jusqu’à 8.000 habitants en deuxième division - à l'image du Poiré-sur-Vie, actuel 3e de National -, cela n’a rien d’exceptionnel. Plusieurs clubs ayant fréquenté longtemps ce niveau (voire la première division) sont dans ce cas. A commencer par Gueugnon : trente-sept saisons en D 2, club représentant une commune de Saône-et-Loire, tombée de 10.000 à 7.000 habitants en quarante ans. On trouve aussi Guingamp (Côtes-d’Armor) et ses vingt-sept années de présence remarquables pour une ville oscillant entre 7.000 et 8.000 habitants. Autre habitué de la D2 (17 saisons), Cuiseaux-Louhans, fruit de la fusion de ces deux bourgs de Saône-et-Loire, totalisant environ 8.000 habitants. Parmi les communes les plus petites ayant atteint la D2 : Ancenis (Loire-Atlantique, 7.000), Montmorillon (Vienne, 6.900), Vittel (Vosges, 6.800), Le Touquet (Pas-de-Calais, 5.000), Tavaux (Jura, 4.000). Le record appartient à Mouzon (Ardennes), 3.000 habitants environ quand il joua en D2 (alors National) en 1971-1972 et à Saint-Seurin (Gironde, 2.500 habitants) qui, avant sa fusion avec Libourne, joua à ce niveau de 1989 à 1992.

(Source : L'Equipe)

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Journaliste spécialisé dans l'actualité sportive, j'ai collaboré, entre autres, à So Foot, Libération, Radio France Internationale. Aujourd'hui, je suis particulièrement les politiques sportives au plan national et dans les collectivités locales pour Localtis.