vendredi 16 janvier 2015

L’Aviron Bayonnais Rugby Pro va procéder à une ouverture de capital

Chefs d'entreprise, artisans, commerçants, professions libérales et particuliers, partenaire du club ou non, peuvent désormais prendre part à l'aventure Aviron Bayonnais en devenant actionnaire du club.
La grande famille de l'Aviron Bayonnais cherche à s'agrandir et se renforcer. « Avec la redéfinition du budget et du projet du club, le modèle économique a changé », explique le président de l'Aviron Bayonnais. « La vision du club a évolué et fait la part bel à ses valeurs, son identité ». Aujourd'hui, si le club basque fédère des entreprises locales, régionales et nationales autour de la passion du rugby et de valeurs communes, ses dirigeants souhaitent élargir le socle des actionnaires et consolider les fondations du club,  « pour que la grande maison Aviron Bayonnais soit plus solide encore ». Inspiré du modèle des « Socios » et des clubs sportifs espagnols, cet actionnariat populaire et participatif est ouvert à tous. Les actionnaires sont conviés aux assemblées générales du club : entre trois et quatre fois par an, sous forme de réunions d'échanges moins formelles et plus conviviales.
L'Aviron Bayonnais en quelques chiffres
Aujourd'hui, ce sont 6200 abonnés, plus de 50000 fans Facebook et 30000 followers Twitter qui véhiculent les valeurs de l'Aviron Bayonnais, entretenant le fabuleux engouement populaire qu'a toujours suscité le club. Au-delà de son public fidèle, l'Aviron bayonnais représente aussi une économie indéniable pour toute la ville. « Notre club attire près de 14000 spectateurs au stade Jean-Dauger. Nous sommes les 6e en terme d'affluence et les retombées économiques sont très importantes. D'un côté, des milliers de supporteurs de la France entière consomment à Bayonne et aux alentours les week-ends de match à domicile. D'un autre côté, le nom de Bayonne rayonne médiatiquement dans tout l'hexagone grâce au club » conclut Manu Mérin.

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Journaliste spécialisé dans l'actualité sportive, j'ai collaboré, entre autres, à So Foot, Libération, Radio France Internationale. Aujourd'hui, je suis particulièrement les politiques sportives au plan national et dans les collectivités locales pour Localtis.