La chambre de jugement du comité d'éthique de la Fifa a estimé mardi que le Belge Michel D'Hooghe, membre du comité exécutif de l'instance, n'avait pas commis d'infraction au code d'éthique dans le cadre de l'attribution des Mondiaux 2018 et 2022 à la Russie et au Qatar.
M. D'Hooghe, qui est également président de la commission médicale de l'UEFA, faisait donc partie des personnes à propos desquelles la Fifa avait annoncé en novembre avoir ouvert des enquêtes. Plusieurs médias britanniques avaient évoqué cinq personnalités, parmi lesquelles l'Espagnol Angel Maria Villar Llona, vice-président de la Fifa et l'Allemand Franz Beckenbauer, ancien membre du comité exécutif. "La chambre de jugement (...) a décidé qu'il n'y a pas d'éléments suffisants pour montrer que le Dr. D'Hooghe a violé quelque disposition que ce soit du code d'éthique de la Fifa", écrit la chambre de jugement dans un communiqué. Elle estime par ailleurs qu'aucune enquête supplémentaire n'est nécessaire dans cette affaire.
La chambre de jugement développe quatre éléments qui ont été soumis à enquête: le don à M. D'Hooghe d'un tableau par les responsables de la candidature russe, un voyage qui aurait été payé par un pays candidat, l'emploi trouvé et accepté par un membre de sa famille au Qatar peu après le vote d'attribution des Mondiaux et son intervention dans une affaire commerciale menée au Qatar par le fils d'un de ses amis proches. A chaque fois, la chambre de jugement estime que "l'ouverture d'une procédure de jugement n'est pas justifiée". Les enquêtes ouvertes par la chambre de jugement l'avaient été dans la foulée de la publication par son président Hans-Joachim Eckert d'une synthèse controversée du fameux rapport Garcia sur le processus d'attribution des Mondiaux 2018 et 2022. Peu avant de démissionner, Michael Garcia lui-même avait vu dans le texte de M. Eckert une lecture erronée et incomplète de ses investigations.
(AFP)
M. D'Hooghe, qui est également président de la commission médicale de l'UEFA, faisait donc partie des personnes à propos desquelles la Fifa avait annoncé en novembre avoir ouvert des enquêtes. Plusieurs médias britanniques avaient évoqué cinq personnalités, parmi lesquelles l'Espagnol Angel Maria Villar Llona, vice-président de la Fifa et l'Allemand Franz Beckenbauer, ancien membre du comité exécutif. "La chambre de jugement (...) a décidé qu'il n'y a pas d'éléments suffisants pour montrer que le Dr. D'Hooghe a violé quelque disposition que ce soit du code d'éthique de la Fifa", écrit la chambre de jugement dans un communiqué. Elle estime par ailleurs qu'aucune enquête supplémentaire n'est nécessaire dans cette affaire.
La chambre de jugement développe quatre éléments qui ont été soumis à enquête: le don à M. D'Hooghe d'un tableau par les responsables de la candidature russe, un voyage qui aurait été payé par un pays candidat, l'emploi trouvé et accepté par un membre de sa famille au Qatar peu après le vote d'attribution des Mondiaux et son intervention dans une affaire commerciale menée au Qatar par le fils d'un de ses amis proches. A chaque fois, la chambre de jugement estime que "l'ouverture d'une procédure de jugement n'est pas justifiée". Les enquêtes ouvertes par la chambre de jugement l'avaient été dans la foulée de la publication par son président Hans-Joachim Eckert d'une synthèse controversée du fameux rapport Garcia sur le processus d'attribution des Mondiaux 2018 et 2022. Peu avant de démissionner, Michael Garcia lui-même avait vu dans le texte de M. Eckert une lecture erronée et incomplète de ses investigations.
(AFP)
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