En 2015–2016, les championnats sportifs professionnels français les plus internationaux sont ceux de Ligue A de volley féminine avec 54,37% de joueuses étrangères, et de Pro A de basket masculin (49,19% de joueurs étrangers).
A l'inverse, la Ligue féminine de basket ne rassemble que avec 35,76% de joueuses étrangères et la D1 masculine de handball ne compte que 38,46%.
Pour sa part, la Ligue 1 de football compte 41,99% de joueurs étrangers cette saison, alors que le Top 14 de rugby en dénombre 44,14%.
(Source : Legisport)
Avec le volley, sport associatif par excellence, on touche le fond de la mégalomanie des dirigeants qui se servent de l'argent public des subventions pour jouer au club pro. Les joueuses pro de volley, la plupart d'entre elles originaires des pays de l'est, ne sont pas très chères, et permettent d'obtenir de bons résultats avec un budget qui semble au départ raisonnable, puis, au fil du temps, les joueuses françaises disparaissent progressivement des équipes et les équipes déposent le bilan.
RépondreSupprimerBien sûr, au moment du dépôt de bilan, les dirigeants accusent les collectivités territoriales, les mairies en général, de ne pas les soutenir et de ne pas jouer le jeu. Quel jeu ?