"L’essentiel de notre masse salariale
va à des jeunes joueurs français que
nous amenons jusqu’à l’équipe nationale et que nous devons alors
payer en conséquence. Or, ils sont
absents plus de trois mois dans l’année. D’autres grands clubs recrutent,
eux, 70 à 80% d’étrangers. Ils ont
raison, je ferais pareil à leur place. Ça
leur permet de rivaliser vite et tout
au long de la saison. Les présidents
de Toulon, du Racing-Métro, de Castres, maintenant de Montpellier, apportent toujours plus de moyens. Et
il y a Clermont, le plus proche de
nous, mais fort de la puissance de
Michelin. C’est à nous de ne pas perdre pied. Bien sûr, la politique de ces
clubs subirait un coup de frein si l’on
imposait aux clubs français de jouer
avec un maximum de 50% d’étrangers." Guy Novès, entraîneur su Stade toulousain.
(Source : L'Equipe)
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